Cette lettre, dont la belle écriture nous est peu lisible, fut envoyée de Paris à un avocat d’Angers en 1670.
Continuer la lecture de « Lettre à un avocat d’Angers, 1670 »
Témoignages sur le monde de l'édition du XVe au XIXe siècle, textes et images / Philosophie française du XIXe siècle / Histoire de l'éducation au XIXe siècle
Cette lettre, dont la belle écriture nous est peu lisible, fut envoyée de Paris à un avocat d’Angers en 1670.
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Le premier doctorat de l’Université impériale, tel qu’il est défini par le décret organique du 17 mars 1808, est celui obtenu en août 1810 auprès de la Faculté des Lettres de Besançon, par Pierre Fontanier [1765-1844], alors professeur d’humanités au lycée de Besançon. Continuer la lecture de « Les docteurs ès-lettres en 1834 »
Le corps des Inspecteurs généraux de l'Instruction publique fut créé, sous le Consulat, par la loi générale sur l’Instruction publique du 1er mai 1802 [11 floréal an X], titre IV, article 17. Continuer la lecture de « Inspecteurs généraux des études en 1833 »
Continuer la lecture de « Clermont-Ferrand : Aufauvre, premier professeur de philosophie »
L'abbé Jean Louis Bernardeau [1762-1829] est le premier professeur de philosophie nommé au lycée impérial de Poitiers [Vienne]. Il y enseigne sur toute la période qui va de fin 1809 à 1815. Continuer la lecture de « Poitiers : Bernardeau, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Orléans : Regel, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Lyon : Gourju, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Bordeaux : Toucas de Poyen, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Bourges : Blondeau, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Limoges : Valrivière, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Grenoble : Jammet, premier professeur de philosophie »
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L'abbé Zacharie Colombot [1762-1821], est le premier professeur de philosophie au lycée impérial [puis collège royal] de Dijon et à la Faculté des Lettres de Dijon [Côte-d'Or], de 1809 à 1819. Continuer la lecture de « Dijon : Colombot, Zacharie, premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Besançon : C. A. de Moy [1753-1833], premier professeur de philosophie »
Continuer la lecture de « Amiens : J. S. Flotte, premier professeur de philosophie »
C'est sans doute son attachement à la jeune École, marqué par son adhésion à l’Association des anciens élèves de l’École normale, créée en 1846, et conçue comme Caisse de secours mutuel, qui permet à Amédée Champanhet-Tavernol d'être encore aujourd'hui vaguement présent dans la mémoire de l'institution. Continuer la lecture de « Champanhet-Tavernol, Amédée (1791-1862). Un Normalien de la 2e promotion [1811] dans la carrière »
Dans le sixième arrondissement de Paris, dans l’axe de la petite rue Dupuytren, on aperçoit de loin l’entrée monumentale d’un immeuble de trois étages. En s’approchant on peut admirer sa porte à double vantaux égaux, de plus de cinq mètres de haut, avec son encadrement en pierre qui s’élève jusqu’à la base du deuxième étage.
Continuer la lecture de « Paris, 4 de la rue Monsieur-le-Prince »
Après une carrière militaire comme artilleur, Jean Gabriel Dessolle devient fonctionnaire d'autorité, d'abord comme inspecteur d'académie à Toulouse, sous l'Empire ; puis comme préfet à Châteauroux [Indre], puis à Pau [Basses-Pyrénées], sous le régime des Bourbons. Continuer la lecture de « Dessolle, Jean Gabriel (1777-1849), de Polytechnique à la Préfecture »
Agrégé [1836], docteur ès-lettres [1841], professeur de philosophie dans différents postes en province [Marseille, Grenoble, Amiens]. Puis nommé à Paris successivement au collège Charlemagne, au collège Bourbon [Condorcet], au lycée Monge [Saint-Louis]. Sa carrière culmine comme secrétaire de la Faculté des Lettres de Paris, pendant près de vingt ans, de 1864 à 1882. Continuer la lecture de « Lorquet, Alfred [1815-1883]. De l’École normale au secrétariat de la Faculté des Lettres »
En 1820, le projet déclaré de Cousin est d'aller travailler à la Bibliothèque Ambrosienne [Milan], à la Bibliothèque Saint-Marc [Venise], à la Bibliothèque Florentine [Florence], à la Bibliothèque Vaticane [Rome] afin de parfaire le travail pour lequel il est déjà « missionné » : éditer les manuscrits grecs de Proclus [412-485], philosophe alexandrin. Continuer la lecture de « Cousin, Victor (1792-1867), sollicitation pour un voyage en Italie »
Au rythme des ans, les devantures parisiennes se font et se défont. Mais si le regard se porte plus haut apparaissent alors souvent des témoins du temps jadis. Ainsi ce « Grand St.-Antoine », avec son cochon, témoigne-t’il d’une histoire ancienne. Qui vaut la peine d’être encore contée.
Comme beaucoup de ceux qui ont vécu la période tumultueuse de la Révolution française, Louis François Antoine Arbogast a mené une existence particulièrement diverse, où se succèdent et s'entrecroisent plusieurs vies. Avocat, mathématicien d'envergure internationale, homme politique s'intéressant à l'Instruction publique, professeur d'École centrale, associé à l'Institut national dès sa création. Continuer la lecture de « Arbogast, Louis François Antoine (1759-1803), de l’École centrale de Strasbourg à l’Institut »
En 1844, sous le pseudonyme d'Arthur de Drosnay, paraît, d'Arthur Barbat de Bignicourt [1824-1888], un livre d'anecdotes, intitulé "Les petits mystères de l'Académie française : révélations d'un envieux." Il y trace, à charge, les portraits des quarante académiciens : successivement, dans le désordre évoqué du hasard : Ballanche, Cousin, Nodier, Patin, Chateaubriand, etc. Continuer la lecture de « Cousin et les mystères de l’Académie française »
Quatre-vingt dix-huit écoles centrales furent établies dans les départements de la France [aux frontières élargies], entre 1796 et 1802. Conçues sous la Convention Nationale [1792-1795], elles sont mises en place sous le Directoire [1795-1799]. Après quelques années de fonctionnement, elles subissent un effet en retour du coup d'État du 18 brumaire an VIII [1799] ouvrant la période du Directoire ; puis sont supprimées par la loi du 2 floréal an X [1er mai 1802]. Continuer la lecture de « Les Écoles centrales »
La Vérité se veut supérieure à la Fable. Mais son caractère altier et sa lumière trop vive effrayent. Pour devenir aimable elle doit accepter les parures de la Fable. Le Temps apporte son concours. Et l’Amour, qui triomphe de tout, dresse son flambeau.
Continuer la lecture de « Claude Joseph Dorat (1734-1780) : La Fable et la Vérité »
Depuis plusieurs jours déjà, l’été, avec ses fortes chaleurs, était revenu. On était déjà fin septembre et pourtant le soleil dardait à nouveau des rayons si brûlants que les bêtes se terraient dans les coins d’ombre et que les hommes, épuisés, sortaient à peine de leurs demeures.
Continuer la lecture de « Xu Wei, ou le rêve de la carpe dorée, conte chinois »
Normalien [1845], agrégé des lettres [1848], docteur-ès-lettres [1857], enseignant, puis recteur de l'académie de Clermont [1873-1874], et de Poitiers [1874-1879], reprend et achève sa carrière comme professeur de Littérature française à la Faculté des Lettres de Dijon. Continuer la lecture de « Aubertin, Charles (1825-1908), professeur de Littérature française à la Faculté des Lettres de Dijon »
Avec la biographie de René Binet, on prend connaissance de la structure et de l'enseignement des Écoles centrales des départements [1796-1802]. Ce recteur de l'ancienne Université y est, à Paris, professeur de Langues anciennes à l'École centrale du Panthéon. Sa carrière le conduit à devenir [1804] le premier proviseur du lycée Bonaparte (Condorcet). Continuer la lecture de « Binet, René (1732-1812), premier proviseur du lycée Condorcet »
De février à mars 1796, cent quarante-quatre personnalités, demeurant hors de Paris, sont élues associés non-résidants de l'Institut national des Sciences et des Arts. Vingt-trois d'entre elles sont professeurs dans une des Écoles centrales des départements. Continuer la lecture de « Professeurs d’Écoles centrales et Associés non-résidants de l’Institut national, 1796 »
Après un début dans le journalisme et la fréquentation des milieux saint-simoniens, V. L. Joguet quitte l'enseignement pour occuper des fonctions administratives d'autorité. La lente succession des postes en province lui permet d'atteindre Paris.
C’est l’histoire d’un intellectuel, Pierre Claude Bernard Guéroult, dont la carrière est déjà accomplie dans la carrière des lettres, ayant déjà la cinquantaine lorsqu’il participe aux évènements de la Révolution française. Et qui devient à près de soixante-dix ans, le premier directeur de l’École normale, installée tout d’abord dans les combles des locaux de la Faculté des Lettres de Paris, c’est à dire dans l’ancien collège Du Plessis.
Plus de trente ans professeur de lettres, à Paris, au lycée Henri-IV, Charles Henri Boudhors est d’une famille de normaliens de la rue d’Ulm. Après une carrière classique où il occupe des premiers postes en province, il est, comme son père nommé à Paris. Son nom reste attaché à l’édition savante des Oeuvres complètes du chevalier de Méré et à celle, en sept volumes, de Nicolas Boileau.
Passant, semble-t'il sans difficulté apparente, du régime napoléonien à la Restauration, la carrière universitaire de l'abbé Thibault est une réussite. Prêtre, prêtre défroqué, prêtre à nouveau, il parcourt, dans le domaine de l'enseignement, toutes les étapes des fonctions d'autorité jusqu'à devenir, à la veille de la Révolution de Juillet, Inspecteur général des études. Continuer la lecture de « Thibault, Nicolas (1769-1830), de l’enseignement du latin à l’Inspection générale des études »
Fidèle à la vocation de la Confédération de l'Oratoire, Jacques Roman se consacre à l'enseignement, tout à la fois comme professeur et comme supérieur de collèges dépendants de l'Ordre. Mais la dissolution des congrégations religieuses séculières en 1792, puis l'émigration en Italie viennent tout bouleverser. Une nouvelle carrière, conduisant au sommet, va s'ouvrir. Continuer la lecture de « Roman, Jacques (1744-1823), de l’Oratoire à l’Inspection générale de l’Université »
La carrière de l'abbé Canaple se conçoit dans la situation du très fort besoin de personnel d'encadrement provoqué par la nomination en 1809, à la tête d'une trentaine d'académies, des recteurs assistés chacun par deux inspecteurs. Continuer la lecture de « Canaple, Pierre Nicolas (1765-1857) : du préceptorat à l’inspection académique (Aix, Nîmes) »
Cet ouvrage scolaire, typique du début du XXe siècle, a été publié en 1904 par I. Carré, agrégé de l’Université, Inspecteur général honoraire de l’Enseignement primaire.
L'Empire napoléonien, avec la loi du 10 mai 1806, et le décret du 17 mars 1808, a mis en place, en France, un « système » universitaire, centralisé, vaste et cohérent. Louis XVIII, revenu d'Angleterre, est amené, au cours de la première Restauration, à garder les grandes lignes de l'organisation antérieure. Continuer la lecture de « Le premier Conseil royal de l’Instruction publique : 17 février-20 mars 1815 »
La Révolution française, avec le Directoire, puis l'Université napoléonienne ont créé un "système" universitaire dépendant de l'État centralisé, imbriquant structures enseignantes (Écoles centrales, Lycées, Facultés) et administratives (Recteurs et Inspecteurs d'académie). C'est dans ce cadre que se déploie la carrière de près de mille cinq cents personnalités. Augustin François Germé, tour à tour professeur de Belles-lettres, recteur, professeur de Faculté, doyen, est l'une d'entre elles. Continuer la lecture de « Augustin François Germé (1745-1824), de l’École centrale au rectorat de Rennes »
La carrière d'Henri François Braive est typique des normaliens [Lettres ou Sciences] qui après une assez longue période d'enseignement sont appelés à des fonctions administratives, souvent couronnées par le rectorat. Continuer la lecture de « Braive, Henri François (1798-1868), normalien, professeur, inspecteur d’académie, et enfin recteur »
Destiné à l'enseignement, Louis François Joseph Alhoy, au moment de la Révolution française, voit momentanément sa carrière, comme pour beaucoup, s'orienter différemment. Son nom reste attaché, avec ses "Promenades poétiques dans les hospices et les hôpitaux de Paris [1826]" , à une œuvre plus didactique que littéraire. Continuer la lecture de « Alhoy, Louis François Joseph (1760-1826), administrateur et poète des hôpitaux »
Déjà maître d'études, Charles Nicolas Denis Diez fait partie des six professeurs reçus à l'agrégation d'allemand ayant lieu pour la première fois en 1849 et devient ainsi professeur de lycée. Le doctorat ès-lettres, passé en 1859, lui permet d'enseigner en Faculté : il est nommé professeur de Littérature étrangère à Besançon [1864-1865], puis à Dijon [1872]. Continuer la lecture de « Diez, Charles Nicolas Denis (1826-1872), traducteur des Odes du poète allemand Klopstock »
Successivement enseignant d'École centrale [1796], de Lycée [1803], puis de Faculté [1810], en tant que professeur de Littérature grecque et latine, Étienne Vital Rabillon, après 1815, poursuit et achève sa carrière dans la fonction administrative d'inspecteur d'académie. Continuer la lecture de « Rabillon, Étienne Vital (1769-1840), professeur et inspecteur d’académie à Rennes »
L'abbé Sicard a cinquante trois ans lorsqu'il est nommé, en novembre 1795, membre de l'Institut national, dans la section de Grammaire de la Classe de Littérature et Beaux-arts [troisième Classe]. Continuateur de l'abbé de L'Épée à l'Institution nationale des sourds-muets [1790], enseignant de grammaire à l'École normale [1795], il est l'auteur d'Éléments de grammaire générale appliquée à la Langue française [an VIII-1799*].
Continuer la lecture de « Sicard, Roch Ambroise (1742-1822), un philanthrope, de l’Institut national à l’Académie française »
Ancien élève de l'École normale supérieure [1858], agrégé des lettres [1861], docteur ès-lettres [1869], Louis Eugène Hallberg, après quelques années d'enseignement secondaire [1861-1872] devient [Dijon, 1872 ; Toulouse, 1878] l'un des quinze professeurs de Littérature étrangère des Facultés des Lettres. Continuer la lecture de « Hallberg, Louis Eugène (1839-1921), professeur de Littérature étrangère à Toulouse »