Derôme, Théodore (1796-1873), professeur d’Histoire à la Faculté de Poitiers

Ancien élève de l'École normale [1814], docteur ès-lettres [1817], agrégé des lettres [1822], Théodore Derôme suit une carrière classique d'enseignant puis d'administrateur : principal puis inspecteur d'académie [1829].
La re-création d'un certain nombre de Facultés de Lettres, à partir de 1830, lui donne l'opportunité d'être nommé en septembre 1845, professeur d'Histoire à la Faculté des Lettres de Poitiers.

À côté de son activité d'enseignant, pendant qu'il est principal du collège de Haguenau, dans le Bas-Rhin, [Pierre] Théodore [Noël] Derôme est également un des différents traducteurs de contes pour enfants du chanoine Johann Christopher von Schmid [1768-1854], contes qui connaîtront un succès retentissant tout au long du XIX ème siècle. Il participe également à une Histoire Sainte dédiée à l'enfance, dont une des éditions [1839] est illustrée par l'illustrateur déjà célèbre Achille Devéria.

1814. ANCIEN ÉLÈVE DE L'ÉCOLE NORMALE.
Comme il est de règle à cette époque, sélectionné par un Inspecteur général ou un Inspecteur d’Académie, Théodore Derôme est admis sans concours à l’École. Il y effectue une scolarité selon une discipline toute militaire, initialement prévue pour une durée de deux ans, puis portée, après 1815, à trois ans, dans les bâtiments de l’ancien Séminaire du Saint-Esprit, rue des Postes [aujourd’hui rue Lhomond], près de la rue Rateau, l’ancien Cul de sac des Vignes.

Sont admis cette même année 1814, vingt élèves. Dans l’ordre alphabétique : 
Charles Alexandre [1797-1870], futur inspecteur général de l'Instruction publique ; Théodore Derôme [1796-1873], professeur d'histoire, doyen de la Faculté des Lettres de Poitiers ; Adrien Dijon [ -1850], professeur à Liège ; Joseph Douy [1795- ], professeur de rhétorique ; Victor Fontanier [1796-1857], consul de France à Civita-Vecchia ; Victor Fourteau, inspecteur d’académie à Nîmes ; Vincent Fribault [vers 1795-1818], professeur au lycée de Rouen ; Auguste Godebert [ou Godbert], professeur de lettres au lycée de Laval ; Michel Guérard [1808-1888], préfet des études au collège Sainte-Barbe ; Joseph Guichemerre [1794-1870], recteur d'académie ; Jean Louis Jannet [1795-1861], proviseur de lycées ; Louis Désiré Lemarchand [-1855], professeur de grammaire ; Théodore Macarel-Dufayel ; Jacques Michel [ -1854], professeur de rhétorique au lycée de Nancy ; Célestin Mirambeau, professeur à l’École de Saint-Cyr ; Guillaume Phocion Navière-Laboissière, inspecteur d’académie à Limoges ; Louis Revel [ -1856], caissier au lycée Louis-le-Grand ; Charles Louis Roussel, inspecteur d’académie ; Alexandre Sabathier [ -1866], professeur de cinquième du lycée de Rouen ; Jean Varney, professeur de philosophie au lycée de Moulins.

Il y a comme répétiteur des cours de la Faculté des Lettres de Paris, l’enseignement de maîtres de conférences : en Littérature Jean Louis Burnouf [1875-1844] ; Abel François Villemain [1790-1870] ; en Langue grecque l’abbé Beato Mablini [1774-1834] ; en Philosophie Georges Gabriel Mauger [1774- ].

1817. DOCTEUR ÈS-LETTRES.
Théodore Derôme est docteur ès-lettres [Paris, 14 août 1817], avec une thèse latine sur De Libertate [In 4-15 p.].
La thèse en français, sur un sujet d'histoire, porte Sur Thucydide [In-4, 27 p.].

Théodore Derôme passe sa thèse de doctorat la même année que Vincent Augustin Fribault [vers 1795-1818] ; Joseph Guichemerre [1794-1870] ; Jean Varney qui ont tous été ses camarades de promotion à l’École normale.
Sont également docteurs en 1817 Joseph Anceau [vers 1794-1821], futur professeur de grammaire au collège Bourbon [lycée Condorcet] ; Jean-François Gail [1795-1845], futur professeur au lycée Saint-Louis ; A. Perreau, futur professeur au lycée Saint-Louis ; Nicolas Rodolphe Taranne [1795-1857], futur bibliothécaire à la Bibliothèque Mazarine.

1822. AGRÉGATION DES LETTRES.
Agrégation des lettres en 1822, à Paris ; le concours étant organisé pour la deuxième fois.
Sont reçus cette année, dans l’ordre du classement : Antoine Joseph Baudon des Forges [ou Desforges] [1791- ] ; Hubert ; Théodore Derôme, ancien élève de l’École normale [1814] ; Joseph Guichemerre [1794-1870], ancien élève de l’École normale [1814] ; Hippolyte Morin, ancien élève de l’École normale [1813] ; [Alphonse] François Agnant, ancien élève de l’École normale [1818], professeur de rhétorique au collège royal de Besançon.

PRINCIPAL DU COLLÈGE DE HAGUENAU.
Théodore Derôme est principal du collège de Haguenau [département du Bas-Rhin dans l'Académie de Strasbourg], jusqu'en 1829, date à laquelle il est nommé inspecteur d'académie à Strasbourg.

1825. TRADUCTEUR DE CONTES ALLEMANDS DU CHANOINE SCHMID.
Théodore Derôme, sur une quinzaine d'années, traduit plusieurs ouvrages, écrits en allemand, du chanoine Johann Christopher von Schmid [1768-1854], et destinés plus particulièrement aux enfants.
Curé catholique de station en Bavière, chanoine d'Augsbourg où il est chargé de gérer l'enseignement, Johann Christopher von Schmid a écrit près de deux cents  contes moralisateurs pour les enfants [Hachette publie en 1883, dans la Bibliothèque rose illustrée : Cent quatre-vingt dix contes pour les enfants de Christoph von Schmid], dont un des premiers, écrit en 1816 s'appelle Die Osterreier [Les Oeufs de Pâques]. Les premières traductions françaises paraissent pour la plupart entre 1829 et 1832, chez l'éditeur Levrault, puis après, d'autres traductions faites par Louis Friedel, chez Mame, à Tours, où elles forment une part importante de la < Bibliothèque de la jeunesse chrétienne >.
Des Oeuvres complètes [des traductions] du chanoine Schmid, paraîtront en plusieurs tomes à partir de 1854. Nouvelle traduction de l'allemand d'après l'édition définitive de 1841, 1842 et 1844. Seule traduction française où les contes soient rassemblés dans l'ordre méthodique voulu par l'auteur et avec ses dernières corrections. Édition faite avec le consentement de M. l'abbé Schmid, et l'approbation de Mgr. l'archevêque de Paris, et celle du Conseil royal de l'Instruction publique.   paraîtront en plusieurs tomes à partir de 1854 [Paris : Adrien Le Clère, imprimeur-libraire, rue Cassette, 29 ; Lille : L. Lefort, imprimeur-libraire, rue Esquermoise, 55. 1854].
On trouve des traductions dans toute l'Europe, parues encore autour des années 1940.

En 1825, paraît la traduction : La Corbeille de fleurs [conte dédié à l'adolescence par l'auteur des ″Oeufs de Pâques″]. Traduit de l'allemand par T. Derome [Haguenau : impr. de L. Koessler. In-16, 167 p., 1825].

En 1826, paraît la traduction :  La Fête de Noël, conte de Christophe Schmid. Traduit de l'allemand par Th. Derome [Haguenau : impr. de L. Koessler. In-16, 237 p., 1826]. Réédité à Fribourg, en 1828 [Fribourg : Herder. In-12].

En 1826 également : Contes [du chanoine Christoph Schmid]. Traduit de l'allemand par Th. Derome [Haguenau. In-18, 1826].
Réédité en 1843 dans une traduction de A. Cerfberr de Médelshein. Vingt-cinq illustrations par Paul Gavarni. Dédicace À son Altesse royale Madame la duchesse d'Orléans [Paris: A. Royer. In-8, 416 p.,1843].

En 1826 paraît : Histoire de Rose de Tannenbourg, histoire du vieux temps, par l'auteur des ″Oeufs de Pâques″. Traduit de l'allemand par Th. Derome [Treuttel et Wurtz. In-16, 197 p., 1826]. Réédité en 1829 [Paris : chez Levrault, rue de la Harpe, n°81, et rue des Juifs, n°33, à Strasbourg. In-16, 209 p.,1829]. Réédité en 1832, avec 5 lithographies hors-texte.

Enfin, en 1830 : Histoire sainte dédiée à l'enfance, par Ch. Schmid. Traduite de l'allemand par Th. Derome [Haguenau : L. Koessler. 4 volumes. In-16, 1830].
Cette histoire sainte est le point de départ d'autres éditions populaires sur l'Ancien et le Nouveau Testament, qui voient le jour entre 1836 et 1839.

1829. INSPECTEUR DE L'ACADÉMIE DE STRASBOURG.
En 1829, Théodore Derôme est nommé inspecteur de l'académie de Strasbourg, en remplacement de l'abbé Delarivière [ou Larivière], décédé en 1829, alors que le recteur de l'académie de Strasbourg est Désiré Ordinaire [1773-1847], recteur de l'académie de septembre 1824 à mars 1831.

Les trois inspecteurs de l'académie de Strasbourg sont alors : Hess, ancien professeur au collège de Colmar, proviseur du lycée de Strasbourg ; Jacques Matter [1791-1864], ancien professeur d'Histoire ecclésiastique à la Faculté de Théologie de Strasbourg [1828-1832], futur Inspecteur général des études [1832-1845] ; Théodore Derôme [1796-1873].

Théodore Derôme continue d'assumer la fonction d'inspecteur, partiellement sous le rectorat de Louis Magloire* Cottard [1790-1871].

1836. HISTOIRE DE L'ANCIEN ET DU NOUVEAU TESTAMENT.
L'Histoire sainte dédiée à l'enfance, par Ch. Schmid. Traduite de l'allemand par Th. Derome, qui paraît en 1830, en quatre volumes [Haguenau : L. Koessler. 4 volumes. In-16, 1830] va servir de modèle à d'autres éditions populaires qui s'échelonnent entre 1836 et 1839.

En 1836 : Histoire de l'ancien et du nouveau testament, imité de Christophe Schmid, par J. Derome, officier de l'université, inspecteur des études. Précédée d'une introduction de M. l'Abbé Deguerry, et ornée de 60 tableaux, dessinés et gravés d'après les peintres les plus célèbres. Ouvrage approuvé par Monseigneur l'Archevêque de Paris. Troisième édition. Nouveau Testament avec 30 tableaux.
[Paris : Herder et Cie, libraires-éditeurs. Rue et passage Dauphine, 36. Deux tomes en un volume. In-8, 317 p., 1836].

En 1839, en faisant appel à Achille Devéria [1800-1857] illustrateur réputé : La Sainte Bible illustrée par Devéria. Histoire de l'Ancien et du Nouveau Testament. Avec des réflexions morales et édifiantes. Par J. Derome. Précédée d'une introduction de M. l'abbé Deguerry […] Augmenté d'un voyage à la terre d'Israël [Paris : Houdaille. Deux parties en un volume in-8, 44 planches hors-texte par 1839].

ACHILLE DEVÉRIA ET LA BIBLE.
De 1828 à 1834, avec soixante-quatre gravures sur acier hors-texte, gravées par plusieurs artistes, dont Lecomte, Prudhomme, Achille Devéria avait participé à l'illustration en pleine page d'une Bible en treize volumes : La Sainte Bible. En latin et en français. Suivie d'un dictionnaire étymologique, géographique et archéologique.
Le texte latin est composé en petits caractères sur deux colonnes, sous le texte français.  Le dictionnaire géographique est de A. F. Barbié du Bocage [Professeur de géographie à la Faculté des Lettres de Paris]. Le treizième volume avec 720 pages enferme la Chronologie, la Table des matières de la Bible, le Dictionnaire explicatif des noms hébreux, chaldéens, syriaques et grecs répandus dans la Bible [400 p.], le dictionnaire géographique [200p].
[Paris : Lefèvre, libraire-éditeur,rue de l'Éperon, n°6. In-8, plus de sept mille pages].  

L'ABBÉ DEGUERRY.
L'abbé Jean Gaspard Deguerry [1797-1871], aumônier du 6 ème régiment de la Garde sous Charles X, chanoine de Notre-Dame, curé de Saint-Eustache à Paris, puis curé de La Madeleine. Responsable de l'Instruction religieuse du Prince Impérial.
Le nom de Jean Gaspard Deguerry est passé à la postérité car il est un des six otages fusillés le 24 mai 1871, à la prison de La Roquette, dans les derniers jours de la Commune, avec Mgr. Georges Darboy, archevêque de Paris ; Paul Seigneret ; Louis Bernard Bonjean, Président de la Cour d'appel.

1845. RÉTABLISSEMENT DE LA FACULTÉ DES LETTRES DE POITIERS.
La Faculté des Lettres de Poitiers avait été créée dans le cadre de l'Université impériale, fondée par la loi du 10 mai 1806, et organisée ultérieurement en mars [décret du 17 mars 1808] et septembre 1808.
En 1810-1811, les deux facultés existantes à Poitiers sont la Faculté de Droit et la Faculté des Lettres.
La Faculté des Lettres comporte quatre chaires : Philosophie, avec Eloy Bellissens [1758-1834] ; Littérature latine, avec Creuzé-des-Châtelliers, en même temps nommé doyen de la Faculté ; Littérature française, avec Bernardy, ancien professeur de rhétorique au lycée de Poitiers ; Histoire, avec Charles Fradin [1769-1846], ancien professeur d'École centrale, et en même temps professeur d’Humanités au lycée de Poitiers.

Mais, après la seconde Restauration, un arrêté en date du 31 octobre 1815 de la toute récente Commission de l’Instruction publique, présidée par Pierre Paul Royer-Collard [1763-1845], arrêté confirmé par l’ordonnance royale du 18 janvier 1816, décide de la suppression de la Faculté des Lettres de Poitiers, l’une des dix-sept Faculté des Lettres supprimées [Amiens ; Bordeaux ; Bourges ; Cahors ; Clermont ; Douai ; Grenoble ; Limoges ; Lyon ; Montpellier ; Nancy ; Nîmes ; Orléans ; Pau ; Poitiers ; Rennes ; Rouen].

Trente ans plus tard, une ordonnance royale du 8 octobre 1845, prise sous le troisième ministère Soult [octobre 1840-septembre 1847], alors que Narcisse Achille de Salvandy [1795-1856] est ministre de l’Instruction publique, de 1840 à 1845, décide de la recréation de la Faculté des Lettres de Poitiers.
L’installation de la Faculté a lieu le 18 novembre 1845, par le délégué ministériel Saint-Marc Girardin [1801-1873], membre du Conseil royal de l’Instruction publique.
Cette reconstitution de la Faculté de Poitiers s’inscrit dans un mouvement plus large qui voit la re-création des Facultés des Lettres de Bordeaux, Lyon, Montpellier, Rennes, par ordonnance royale du 24 août 1838 ; et la re-création de la Faculté des Lettres d’Aix, l'année suivante, par ordonnance royale du 11 juin 1846.

1845. PROFESSEUR D'HISTOIRE À LA FACULTÉ DES LETTRES DE POITIERS
Sont alors créées à Poitiers les chaires de Philosophie, avec Alexandre [Adolphe] Bertereau [1811-1879], professeur de 1845 à 1875 ; de Littérature ancienne, avec Louis Magnier [1792-1875], professeur de 1845 à 1848 ; de Littérature française, avec Jean Baptiste Anot [1794-1879], professeur de 1845 à 1863 ; de Littérature étrangère, avec Edmond Arnoult [1811-1861], professeur de 1845 à 1853 ; d'Histoire, avec [Pierre] Théodore Derôme [1796-1873], professeur de 1845 à 1862.

LES NOUVEAUX PROFESSEURS D'HISTOIRE DANS LES FACULTÉS.
Théodore Derôme fait partie de la cohorte des enseignants promus professeurs d'Histoire dans les chaires des Facultés des Lettres, créées à partir de 1838 : à Bordeaux, Joseph Rabanis [1801-1860], chargé de cours de septembre 1838 à 1840, professeur de 1841 à janvier 1851, doyen de la Faculté de 1838 à 1851 ; à Lyon, Achille François [1809-1865], chargé de cours de 1838 à 1839, professeur du 29 mai 1840 à août 1848 ; à Montpellier, Alexandre Germain [1809-1887], chargé des fonctions de professeur de 1838 à 1839, professeur de 1839 à 1885, doyen de la Faculté de 1861 à 1881 ; à Rennes, Pierre Joseph Varin [1802-1849], professeur de 1838 à 1844, doyen de la Faculté de 1839 à 1844 ; à Aix, Faculté des Lettres d'Aix, recréée en 1846, Charles Pons [1802-1853], professeur de 1846 à 1853.

1846. DOYEN DE LA FACULTÉ DES LETTRES.
Au moment de la création de la Faculté de Poitiers, Théodore Derôme est nommé doyen de la Faculté. Il reste en fonction jusqu'en 1863, date à laquelle il est admis à faire valoir ses droits à la retraite, alors qu'il est dans sa soixante-septième année. Il est remplacé dans cette fonction de doyen, fin 1863, par Adolphe Bertereau [1811-1879], professeur de Philosophie à la Faculté des Lettres, depuis octobre 1845. Adolphe Bertereau remplira cette fonction de doyen jusqu'en novembre 1874.

1852-1857. LES RAPPORTS DU DOYEN.
En tant que doyen de la Faculté des Lettres de Poitiers, Théodore Derôme est amené à prononcer, au cours de la cérémonie de la rentrée solennelle des Facultés, un rapport d'activités.

Deux rapports sont publiés :

En 1852 : Académie de la Vienne. Rentrée solennelle des Facultés, 26 novembre 1852. Rapport de M. Derôme, doyen de la Faculté des lettres.
[Poitiers : impr. de A. Dupré. In-8, 16 p., 1852].

En 1857 : Académie de Poitiers. Séance annuelle de rentrée, année 1857-1858, Académie de Poitiers. Rapport de M. Derôme, doyen de la Faculté des lettres de Poitiers.
[Poitiers : impr. de A. Dupré. In-8, 16 p., 1857].

L'ENSEIGNEMENT DE L'HISTOIRE À LA FACULTÉ DES LETTRES DE POITIERS.
Théodore Derôme prenant sa retraite en 1863, son cours est pris en charge par
Jean Pierre Bazy, chargé de cours de 1862 à 1864 ; puis par Benjamin Nicolas, chargé de cours de 1864 à 1867.

Benjamin Nicolas est nommé professeur titulaire de la chaire d'Histoire de la Faculté des Lettres de Poitiers de 1868 à 1870.

AUTRE TRADUCTION.
En 1827, Théodore Derôme traduit de Georg Heinrich Pertz : Histoire des maires du palais, par George Henri Pertz, traduite de l'allemand par Th. Derome [Hagueneau : L. Koessler. In-16, III-284 p., 1827].