Platon, Œuvres éditées par V. Cousin

L’édition de la traduction des Œuvres de Platon, commencée par V. Cousin en 1822 se poursuit jusqu’en 1840. Elle se compose de treize tomes in-octavo, édités à Paris : d'abord chez Bossange frères, de 1822 à 1827 inclus, pour les tomes un, deux, trois, quatre, cinq ; puis chez Pichon et Didier, en 1831 et 1832, pour les tomes six, sept, huit ; enfin chez Rey et Gravier, de 1833 à 1840, pour les tomes neuf, dix, onze, douze, treize. Le tout formant plus de cinq mille pages.L’édition de la traduction, du grec en français, des Œuvres de Platon, commencée par V. Cousin en 1822 se poursuit jusqu’en 1840. Elle se compose de treize tomes in-octavo, édités à Paris : d'abord chez l'éditeur Bossange frères, de 1822 à 1827 inclus, pour les tomes un, deux, trois, quatre, cinq  ; puis chez Pichon et Didier, en 1831 et 1832, pour les tomes six, sept, huit ; enfin chez Rey et Gravier, de 1833 à 1840, pour les tomes neuf, dix, onze, douze, treize. Le tout formant plus de cinq mille pages.
Pour les cinq premiers tomes, ainsi que pour le tome sept, chaque œuvre de Platon est précédée d'un « Argument philosophique » rédigé par V. Cousin présentant le texte.

UN TRAVAIL FACILE ET AGREABLE.
Depuis la fin de l'année 1820, V. Cousin [1792-1867] a perdu son statut d'enseignant à la Faculté des lettres de Paris comme suppléant de Royer-Collard dans la chaire d’Histoire de la philosophie moderne.
Il garde encore, pour l’année 1821-1822, son poste de Maître de conférences de philosophie à l’École normale, tandis qu’il assure un complément de revenus par un emploi régulier au Journal des savants, et un préceptorat auprès du fils aîné du Maréchal Lannes.
Mais surtout, il poursuit son édition de Proclus [établissement du texte grec et traduction latine], commencée, avec les volumes 1 et 2, en 1820 ; les volumes 3 et 4, en 1821. L'édition continuera jusqu’en 1827 et représentera un total de six volumes, le tome 5 paraissant en 1823, le tome 6 et dernier en 1827 .
Cependant la santé de V. Cousin se détériore. Il attribue sa fatigue au travail intense que représente cette édition.
Il s'en ouvre, le lundi 12 novembre 1821, dans une lettre à son ami allemand Christian Auguste Brandis [1790-1867], philologue et historien de la philosophie, spécialiste d'Aristote : « Je sors d'une maladie qui a pensé être la dernière […]. Le médecin exige que d'ici à un an, je laisse les manuscrits grecs et les corrections des épreuves grecques qui m'allument le sang, et me fatiguent la poitrine ». Aussi V. Cousin se décide « à un travail plus facile et plus agréable. Je reviens donc à votre conseil de traduire Platon ».

1821. PROSPECTUS DE LA TRADUCTION DE PLATON.
En réalité la décision a été prise par V. Cousin sans doute quelques mois auparavant, puisque dès le jeudi 1er novembre 1821 paraît le prospectus de l'édition de la traduction des Œuvres de Platon, dans lequel Cousin écrit :
« Le nom de Platon rappelle à l’esprit cette philosophie qui voit dans l’homme autre chose que son enveloppe ; qui lui reconnaît une autre activité que l’irritabilité des organes, une autre source d’idées que les impressions des sens, une autre règle que l’intérêt personnel, une autre destinée que les jeux du sort et les chances de cette vie. Cependant cette noble philosophie est presque délaissée parmi nous, et une traduction complète de Platon manque encore à la littérature française. Serait-il trop hardi d’avancer que la philosophie du siècle dernier aurait moins facilement réussi à populariser le matérialisme et le sensualisme, si une traduction de Platon, telle que nous la concevons, eût été là pour protester en faveur de la raison humaine ? ».

1822. LES TEXTES DE LA COUVERTURE.
Le texte porté sur la couverture imprimée du premier tome est le suivant :
Œuvres/ complètes/ de Platon,/ traduites du grec en français,/ accompagnées de notes,/ et précédées d'une introduction sur la philosophie de Platon,/ par Victor Cousin,/ Ex-maître de conférences à l'ancienne école normale, professeur/ suppléant de l'histoire de la philosophie moderne, à la faculté des/ lettres de l'académie de Paris./ Paris : Bossange frères, libraires, Rue de Seine, n° 12./ 1822.
C'est un texte que l'on retrouve rarement, car la plupart des exemplaires  de l'édition en treize volumes des Oeuvres de Platon, traduites par V. Cousin, sont reliés, et la page de la couverture imprimée, page d'attente, a été supprimée.

La quatrième de couverture de l'édition brochée fournit les Conditions de la souscription : « L'ouvrage sera composé de neuf volumes in-8° orné d'un beau portrait de Platon, d'une carte de l'Attique et d'un plan d'Athènes.
Le volume qui contiendra l'introduction sur la philosophie de Platon sera publié le dernier.
Il paraîtra un volume tous les trois mois.
Le prix de chaque volume, papier d'Annonay satiné, est de 9 fr.
Le grand papier vélin, dont il n'est tiré que vingt-cinq exemplaires, coûte 25 fr. Le volume ».

LE PROJET D'UNE EDITION DES OEUVRES COMPLETES.
Les textes rédigés sur la page de couverture imprimée, et sur la quatrième de couverture indiquent clairement le projet de V. Cousin :
Effectuer en neuf volumes une édition de la traduction intégrale des œuvres de Platon.
Mener cette tâche dans le délai de deux ans, à raison de un volume tous les trois mois.
Compléter cette traduction d'une introduction sur la philosophie de Platon.

Ce projet se déroulera d'une manière assez différente :
L'édition, dans aucune de ses pages de titre, ne se revendique comme édition complète. Elle s'effectue en treize volumes, et non pas en neuf volumes.
La tâche est menée en dix-huit ans, de 1822 à 1840, et non pas en deux ans. Dans certains cas, il se passe deux ou trois ans sans qu'un seul volume paraisse.
L'argument philosophique qui doit présenter chaque œuvre n'existe que pour les œuvres publiées dans les premiers tomes.

Enfin l'introduction, promise au départ, n'est jamais publiée. On trouve simplement dans un article du journal Le Globe, en date du  samedi 3 novembre 1827,
 un article sur-titré Philosophie-Platon,  sur le caractère général des compositions platoniciennes.
Incipit : « Il y a dans l'ensemble des compositions de Platon trois manières bien distinctes, comme il y a trois époques différentes de sa vie. Nourri dans le sein de la religion et de la poésie, ses premiers essais philosophiques sont tout pénétrés des habitudes de sa jeunesse. On sent déjà, il est vrai le grand métaphysicien dans le fond de sa pensée, mais la forme retient quelque chose du dithyrambe et de la tragédie : le philosophe porte encore les bandelettes du prêtre et la lyre du poète ; ses idées sont des dogmes et sa parole un chant. Aucune vérité essentielle ne lui manque, mais toutes les vérités sont dans son âme et dans ses écrits sous la forme de pressentiments sublimes, et non de démonstrations rigoureuses ».

LE CONTENUS DES TREIZE TOMES.

TOME PREMIER. 1822.
La texte porté sur la couverture imprimée du premier tome est le suivant :
Œuvres/ complètes/ de Platon,/ traduites du grec en français,/ accompagnées de notes,/ et précédées d'une introduction sur la philosophie de Platon,/ par Victor Cousin,/ Ex-maître de conférences à l'ancienne école normale, professeur/ suppléant de l'histoire de la philosophie moderne, à la faculté des/ lettres de l'académie de Paris./ Paris : Bossange frères, libraires, Rue de Seine, n° 12./ 1822.

*Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin. Tome premier [Paris : Bossange frères, libraires. Rue de Seine, n° 12. In-8, 371 p., 1822].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : De l'imprimerie de Firmin Didot, imprimeur du roi, rue Jacob, n° 24.

Contient les traductions de Euthyphron, ou de la sainteté  ; Apologie de Socrate ; Criton, ou le devoir du citoyen ; Phédon, ou de l'âme. Notes additionnelles [pages 323-369].
L'argument philosophique de Euthyphron, ou de la sainteté occupe les pages 3-7.
L'argument philosophique de l'Apologie de Socrate occupe les pages 55-59.
L'argument philosophique de  Criton, ou le devoir du citoyen occupe les pages 123-125.
L'argument philosophique de Phédon, ou de l'âme occupe les pages 159-181.

Le premier volume est dédié à Auguste Viguier*[1793-1867], qui a aidé V. Cousin dans son travail.

*TOME DEUXIEME. 1824.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin. Tome deuxième [Paris : Bossange frères, libraires, rue de Seine, n° 12. In-8, 498 p., 1824].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : A Leipsig, chez Bossange frères, Reichs Strasse.
De l'imprimerie de Firmin Didot, imprimeur du roi, rue Jacob, n° 24.

Contient les traductions de Théétète, ou de la science ; de Philèbe, ou du plaisir. Notes additionnelles [pages 473-498].
L'argument philosophique de Théétète, ou de la science occupe les pages 3-32.
L'argument philosophique de Philèbe, ou du plaisir occupe les pages 246-288.

Le deuxième volume est dédié au poète italien Alexandre Manzoni [1785-1873].

*TOME TROISIEME. 1826.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome troisième. [Paris : Bossange frères, libraires, quai Voltaire, n° 11. In-8, 457 p., 1826].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : de l'imprimerie de Lachevardière fils, rue du Colombier, n° 30, à Paris.

Contient les traductions de Protagoras, ou les sophistes ; Gorgias ou la rhétorique. Notes additionnelles. [pages 415-456].
L'argument philosophique de Protagoras, ou les sophistes occupe les pages 3-8.
L'argument philosophique  Gorgias ou la rhétorique occupe les pages 128-180.

Le troisième volume est dédié à Georg Wilhelm Friedrich Hegel [1770-1831] alors professeur à Berlin. Certains exemplaires e cette édition ne contiennent pas la dédicace.

*TOME QUATRIEME. 1827.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome quatrième. [Paris : Bossange frères, libraires, quai Voltaire, n° 11. In-8, 478 p., 1827].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : de l'imprimerie de Lachevardière fils, rue du Colombier, n° 30, à Paris.

Contient les traductions de Lysis, ou de l'amitié  ; Hippias, ou du beau ; Ménexène, ou l'oraison funèbre ; Ion, ou de l'Iliade  ; Le second Hippias ou du mensonge ; Euthydème, ou le disputeur. Notes additionnelles [pages 455-477].
L'argument philosophique du  Lysis, ou de l'amitié occupe les pages 3-33.
L'argument philosophique de Hippias, ou du beau occupe les pages 81-96.
L'argument philosophique de Ménexène, ou l'oraison funèbre occupe les pages 172-183.
L'argument philosophique de Ion, ou de l'Iliade occupe les pages 221-235.
L'argument philosophique du Second Hippias ou du mensonge occupe les pages 275-293.
L'argument philosophique du Euthydème, ou le disputeur occupe les pages 339-358.

Le quatrième volume est dédié au comte Sanctorre de Santa Rosa [1783-1824].

*TOME CINQUIEME. 1823.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome cinquième. [Paris : Bossange frères, libraires, rue de Seine, n° 12. In-8, 441 p., 1823].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : de l'imprimerie de Firmin Didot, imprimeur du roi, rue Jacob, n°24.

Contient les traductions de Le premier Alcibiade, ou de la nature humaine ; le second Alcibiade, ou de la prière ;  Hipparque, ou de l'amour du gain ; Théagès, ou de la vraie instruction ; Charmide, ou de la sagesse ; Lachès, ou du courage. Notes additionnelles [pages 397-440].
L'argument philosophique du Premier Alcibiade, ou de la nature humaine occupe les pages 3-13.
L'argument philosophique du Second Alcibiade, ou de la prière occupe la page 137.
L'argument philosophique de Hipparque, ou de l'amour du gain occupe les pages 179-180.
L'argument philosophique de Théagès, ou de la vraie instruction occupe les pages 229-231.
L'argument philosophique de Charmide, ou de la sagesse occupe les pages 267-277.
L'argument philosophique de Lachès, ou du courage  occupe les pages 333-336.

Le cinquième volume est dédié à Claude [Charles] Fauriel [1772-1844].

TOME SIXIEME. 1831.
Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome sixième. [Paris : Pichon et Didier. In-8, 495 p., 1831].  
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Imprimerie de Lachevardière, rue du Colombier, n° 30.

Contient les traductions de Phèdre ou de la beauté ; Menon ou de la vertu ; Le Banquet ou de l'amour. Notes additionnelles [pages 347-493].
Les notes additionnelles pour chacun des dialogues sont très développées, mais il n'y a pas d'argument philosophique présenté en tête de chacun des dialogues.

*TOME SEPTIEME. 1831.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome septième. [Paris : Pichon et Didier. In-8, CXLVIII-459 p.,+1 page d'errata. 1831].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Imprimerie de Lachevardière, rue du Colombier, n° 30.

Contient la traduction de Les Lois. Livres I-VI. Notes additionnelles [pages 381-458].

L'argument philosophique des Lois occupe les pages I- CXLVIII.

Le septième volume est dédié à J. G. Farcy [1800-1830].

*TOME HUITIEME. 1832.
Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome huitième. [Paris : Pichon , libraire-éditeur, quai des Augustins, n°25. In-8, 522 p., 1832].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.

Contient la traduction de les Lois. Livres VII-XII. Notes additionnelles [pages 405-521].

*TOME NEUVIEME. 1833.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome neuvième. [Paris : Rey et Gravier, libraires, quai des Augustins, n° 45. In-8, 395 p., 1833].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.

Contient la traduction de La République. Livre I-V. Notes additionnelles [pages 325-394].

*TOME DIXIEME. 1834.
Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome dixième. [Paris : Rey et Gravier,  libraires, quai des Augustins, n° 45. In-8, 388 p.,1834].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.
 
Contient la traduction de La République. Livres VI-X. Notes additionnelles [pages 297-387].

*TOME ONZIEME. 1837.
Page de titre :  
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome onzième. [Paris : Rey et Gravier,  libraires, quai des Augustins, n° 45. In-8, 545 p., 1837].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie et fonderie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.

Contient la traduction de Cratyle ou de la propriété des noms ; Le Sophiste ou de l'être ; Le Politique ou de la royauté. Notes additionnelles [pages 487-544].
Il n'y a pas d'argument philosophique placé en tête de chaque dialogue.

*TOME DOUZIEME. 1839.
Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin, tome douzième. [Paris : Rey et Gravier,  libraires, quai des Augustins, n° 45. In-8, 383 p., 1839].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie et fonderie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.

Contient la traduction de Parménide ou sur les idées ;  Timée ou de la nature ; Critias ou l'Atlantide ; Timée de Locres. Notes additionnelles [pages 303-381].
Il n'y a pas d'argument philosophique placé en tête de chaque dialogue.

*TOME TREIZIEME. 1840.
Page de titre :
Œuvres de Platon, traduites par Victor Cousin. Tome XIII et dernier. Appendice. [Paris : P.-J. Rey, libraire, quai des Augustins, 45. In-8, 250 p., 1840].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : Paris : Imprimerie et fonderie de Rignoux, rue des Francs-Bourgeois-S.-Michel, n° 8.

Contient les traductions de : Epinomis ou la philosophie ; Minos ; Clitophon ; les Lettres [de I à XIII inclus] ; l'Axiochus, ou sur la mort ; du Juste ; de la Vertu, si elle peut-être enseignée ; Démodocus ; Sisyphe ; Erixias ou de la richesse ; Définitions ; Pièces de vers, attribuées à Platon ; Testament. Notes additionnelles [pages 217-248].
Il n'y a pas d'argument philosophique placé en tête de chaque dialogue.

REEDITIONS PARTIELLES.
Tome 1.
Édité initialement en 1822.
Réédité en 1846 [Paris : Rey, libraire, quai des Augustins, n° 45. In-8, 370 p., 1846].
La page de gauche, face à la page de titre porte la mention : lmprimé chez Paul Renouard, rue Garancière, n° 5.

Réédité en 1896. Œuvres de Platon. Traduites par Victor Cousin. Seconde édition par M. Barthélemy-Saint Hilaire. Socrate et Platon, ou le Platonisme ; Euthyphron ; Apologie de Socrate ; Criton ; Phédon. [Paris : Félix Alcan ; Hachette et Cie. In-8, VI-413 p., 1896].
Cette édition est doublement posthume : Victor Cousin est mort en 1867 ; Jules  Barthélemy-Saint Hilaire [1805-1895] est mort en 1895.

Tome 2.
Édité initialement en 1824.
Réédité en 1852 [Paris : Rey et Belhatte, libraire, quai des Augustins, n° 45. In-8, 498 p., 1852].

Tome 4.
Édité initialement en 1827.
Réédité en 1856 [Paris : Rey, libraire, quai des Augustins, n° 45. In-8, 477 p., 1856].

Tome 5.
Édité initialement en 1823.
Réédité en 1851 [Paris : Rey et Belhatte, libraire, quai des Augustins, n° 45. In-8, 1851].

Tome 6.
Édité initialement en 1831.
Réédité en 1849 [Paris : P.-J. Rey, libraire-éditeur, quai des Augustins, n° 45. In-8. 493 p., 1849].

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